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Michaël Latz, Politiquement différent - Var
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31 janvier 2007

Un peu d'humour pour bien commencer la journée

C'est de l'humour, et celui là me fait sourire. Car, si vous allez sur le site, vous verrez d'autres parodies.

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Commentaires
I
pour faire des comparaisons et se forger son opinion, rien ne vaut (en tout cas sur la question fondamentale de la justice) d'aller sur le blog d'un juridste qui décortique toutes les propositions : <br /> <br /> http://maitre.eolas.free.fr/journal/index.php?2007/02/02/525-parlons-programme-segolene-royal-et-la-justice<br /> <br /> il commence par Ségo.
G
aller aussi sur le site http://brunocandida.com<br /> vous y trouverez un pastiche de Sego, de DeGo... c'est aussi très rigolo. la vidéo commence à été bien diffusé, je l'ai recu de 2 personnes hier soir...
D
Paru dans Libé : Chirac et le sacrilège des surligneurs<br /> <br /> Alors, Monsieur Sarkozy, comment réagissez-vous à l'affaire du scooter ? Et à la frénésie de mise en fiches, déployée par les RG contre votre adversaire, ses conseillers, ses possessions immobilières ? Et aussi, accessoirement, contre les voisins de votre QG de campagne ? Et vous, Madame Royal, une petite réaction aux sondages qui fléchissent ? Ces débats participatifs, honnêtement, pensez-vous que c'était la bonne stratégie ?<br /> Et votre programme, quand allez-vous enfin le dévoiler ? Et vous, la piétaille, tous les petits candidats, venez donc, nous vous tendons le micro. Comment expliquez-vous que vous soyez encore si petits ? Pourquoi, selon vous, vos sondages ne décollent-ils pas ? Et tiens, vos propositions, pourquoi ne les entend-on pas ? Non, je ne vous demande pas de les détailler, ici et maintenant, à ce micro, vous allez faire zapper tout le monde. Je vous demande seulement pourquoi elles sont inaudibles.<br /> Ainsi se déploie, chaque matin sur les radios, chaque soir sur les écrans de télé, chaque jour dans la presse écrite, le questionnement journalistique à quinze têtes. La limite la plus évidente du journalisme français, c'est qu'il est fondamentalement un journalisme d'analyse et de recueil de réactions, de porte-micros et d'exégètes.<br /> Si c'était un outil, ce serait une tenaille dont les deux mâchoires s'appelleraient le micro-trottoir, et Alain Duhamel. En bas, on tend le micro au peuple, avant de sélectionner soigneusement ses réponses en fonction de ce que l'on pense qu'il devrait penser.<br /> En haut, on arbitre le ping-pong permanent des petites phrases, des polémiquettes et des coups bas. On répercute les crocs-en-jambe, les attaques et les contre-attaques. On dissèque savamment les stratégies et les positionnements. On analyse les arrière-pensées, sur la base de confidences «off», bien entendu, glanées lors des innombrables déjeuners entre puissants et journalistes.<br /> Dans ce déluge quotidien, des absents de marque : les faits. Les faits obscurs, et qui le resteront, puisque les projecteurs se braquent ailleurs.<br /> Une intervention politique a-t-elle, oui ou non, accéléré l'enquête sur le scooter du fils Sarkozy ? Cette enquête policière a-t-elle, oui ou non, bénéficié de moyens particuliers ? Sur ordre de qui ? Qu'en est-il réellement des cinq mille débats participatifs allégués par Royal ? Se tiennent-ils vraiment, en présence de militants socialistes et de ces autres citoyens, qui sont «les meilleurs experts de leurs propres vies», ou tout ce dispositif n'est-il que poudre aux yeux verbale ? Quels témoignages, quelles propositions, s'y déploient ? Qu'en retiendra véritablement la candidate ? Par quels moyens, avec quelle logistique, s'effectuera le travail de synthèse de ces dizaines de milliers de contributions ? Derrière les slogans, les anathèmes, les missiles, quelle réalité ? On n'en saura rien.<br /> Dans le vacarme de la campagne qui s'emballe, hurle plus fort que jamais le silence du réel. Car, pendant que l'on déjeune sous les lambris des ministères, pour recueillir les confidences des princes et des sous-princes, on n'est pas dans les halls d'immeuble des cités, pour évaluer si la sécurité s'y est vraiment améliorée, si les «jeunes» qui tiennent les boîtes aux lettres ont cessé de cracher dans les pieds de «la France qui se lève tôt». On n'est pas à Calais, pour voir comment les candidats turcs ou afghans au passage en Grande-Bretagne survivent aux nuits glaciales, depuis la fermeture à grands sons de trompe du centre de Sangatte. On n'est pas dans les commissariats, pour voir comment est traité le tout-venant des plaintes pour vol de scooter. On n'est pas dans les ateliers, dans les bureaux, aux caisses des supermarchés, pour évaluer les effets des 35 heures, et l'application du CNE.<br /> Près de deux siècles après sa naissance en France, la presse grand public porte encore les stigmates de ses origines : l'antichambre des princes. Dans les médias anglo-saxons, qui ont, par ailleurs, énormément de défauts, les citations, les petites phrases et les mots d'esprit importent moins que les faits. La culture dominante y est celle des reporters et des enquêteurs, et non celle des exégètes politiques, lointains descendants des chroniqueurs de la Cour. Un exemple éclatant en était offert cette semaine, à propos de la gaffe de Chirac sur le nucléaire iranien dans l'interview accordée conjointement à des journaux français et américains.<br /> Certes, l e Nouvel Obs et le New York Times rapportent tous deux que l'Elysée a fait revenir les journalistes au lendemain de l'interview initiale, pour une «deuxième prise» . Mais alors que le Nouvel Obs se contente d'ouvrir les guillemets, pour comparer les deux versions successives de la pensée présidentielle, le New York Times multiplie les notations ravageuses sur l'ambiance de l'entretien, et les détails accablants sur la vigueur mentale du Président. On apprend ainsi que ses conseillers ont dû plusieurs fois venir à son secours pour lui rappeler des noms ou des dates, qu'il lisait des notes imprimées en gros caractères, et surlignées en jaune et en rose, ou même que ses mains tremblaient légèrement. Des surligneurs jaune et rose : dans ce détail sacrilège, toute la largeur d'un océan.
L
Dans un registre plus fouillé, 3 étudiants «soucieux-de-l'avenir-de-leur-pays-et fascinés-par-les-enjeux-de-l'élection-présidentielle » ont mis en ligne http://www.votons.info <br /> <br /> Le site propose aux internautes de comparer les programmes des candidats sur des thématiques comme « l'économie et l'emploi », « les institutions », « l'Europe », ou « l'éducation et la recherche ».
P
Dahan devrait s'inspirer de ce qu'est une farce rigolote. et ce qui ne l'est pas.
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