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Michaël Latz, Politiquement différent - Var
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12 février 2007

Fan de Ségolène

J’ai entendu un candidat récemment déclamer dans tous les sens, dans un discours d'investiture le 14 janvier qu’il avait profondément «changé». J'ai toujours du mal à en être convaincu. Mais bon.Segolene_Villepinte

J’ai entendu à l'inverse Ségolène Royal, de bout en bout dans l'exposition de son dessein présidentiel hier après-midi. Elle, elle n’a pas changé. Hier à Villepinte, sa cohérence et son positionnement n'ont pas varié. Ni sur la méthode participative, ni sur ses positions, ni sur le concept encore à travailler de jurys citoyens ou d’encadrement militaire. Et c’est bien là, tout l’enjeu de sa candidature. Elle est la candidate d'un «changement profond». Grâce à son « pacte présidentiel », elle incarne aux yeux de ceux qui « ne croient plus à la magie des promesses », la rénovation de la pratique politique et un renouveau dans les institutions, qu'elle veut porter.

«Le temps n'est plus aux colmatages [...]. Il nous faut tout revoir, tout repenser.»

Nouvelle logique également dans son approche et dans sa stature de présidentielle, quand Ségolène Royal se pose en mère de la nation : « Je veux pour tous les enfants qui naissent et grandissent en France ce que j'ai voulu pour mes propres enfants. »

Ségolène a dessiné là une cohérence à l'ensemble. Le ton était juste. Le discours également. Je vous invite à le lire ainsi que ses propositions. Elle n'a pas éludé les problèmes économiques et bien précisé l'importance du rôle des PME et du dialogue social. Le rôle clé également du développement durable comme porteur de développement de richesse ; car son discours avait cet équilibre qui nous manque cruellement, la capacité à passer facilement du débat du local au global.

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Commentaires
R
M. Copé a expliqué avoir lu le rapport de Dominique Strauss-Kahn pour se faire une idée de la position de Ségolène Royal. "J'ai été effaré, parce que je pensais qu'il serait un peu moderne. Qu'est-ce que j'ai lu ? On recommence à dire qu'on va faire payer les fameux méchants riches, avec remise en cause des baisses d'impôts, avec suppression du bouclier fiscal, a-t-il critiqué. Tout ça est d'un autre temps."
L
j'avais peur de son positionnement. je l'ai trouvé juste, sure d'elle et précise. toutes les critiques, à 99% sont déplacées. que l'on passe au fond. et adviendra ce qu'il adviendra !!
G
Merci "on va gagner". Eviter de polluer ce genre de blog, car le débat qui s'y installe peut-etre intéressant et riche de sens pour les Varois. Voilà ma réaction sur le rapport de DSK que vous nous proposez M. Latz : Avant de songer à augmenter les impôts, assurons nous que les Français "en ont pour leur argent". Plus que l'importance du montant des dépenses publiques, c'est leur efficacité qui compte. Le Parti socialiste veut accroître la fiscalité pour ne mettre en oeuvre aucune réforme de l'Etat. Loin de contribuer à leur réduction, la hausse de la fiscalité risque bien au contraire d'augmenter la pauvreté et le chômage, et pourrait provoquer un jour une vaste remise en cause de la protection sociale ! Peut être gagnerions nous à nous inspirer du pragmatisme social démocrate qui, par des réformes parfois drastiques, sait remettre l'action publique au coeur de l'intérêt général.
O
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N
On peut reconnaître une qualité à Sarko, c’est celle de ne pas mégoter dans l’artillerie mise en place pour faire croire l’inverse de ce qu’il représente réellement. Après les références à quelques grandes figures du socialisme que mêmes certains socialistes ne prennent plus, voici le temps du « je ne suis pas l’homme d’un parti » (mwarfff) et du « je veux rassembler les Français et parler au peuple de gauche ». Ben voyons !<br /> <br /> Mais laissons de côté cette vaste fumisterie marketing pour revenir sur un sujet déjà abordé, à savoir le fameux « je propose aux Français de travailler plus pour gagner plus » qui trouve un écho tellement favorable dans l’opinion qu’il mérite de s’y attarder. Si l’on en croit les sondages pas, plus la sauce prend et le piège se referme ! En effet 1/3 des ouvriers se diraient favorables à cette idée ridicule.<br /> <br /> Au-delà de l’idiotie historique et du chantage salarial dont je parlais ici, j’aimerais rappeler une vérité économique basique et pourtant totalement occultée volontairement par Sarko et sa bande.<br /> <br /> En effet, qui connait un tant soit peu le fonctionnement quotidien d’une entreprise, sait que la quantité de travail est conditionnée par un facteur essentiel, le carnet de commandes ! Cela signifie que ni le patron et ni a fortiori les salariés ne peuvent choisir le temps travaillé au-delà du temps effectif représenté par les heures salariées légales. Tout dépend donc d’une variable externe que l’entreprise ne maîtrise que très partiellement.<br /> <br /> Alors non seulement si les carnets de commandes sont remplis, le salarié n’aura pas le choix de faire des heures supplémentaires qui lui seront imposées par le chef d’entreprise, mais en outre ce dernier pourra également choisir d’embaucher, réduisant ainsi à néant toute velléité d’heures supplémentaires par le salarié.<br /> <br /> Voilà la « liberté » de gagner plus en mode Sarko ! Un foutage de gueule version exploitation des plus petits dans un unique objectif, minimiser les coûts salariaux pour maximiser les profits.<br /> <br /> Pourtant, pour tous ceux qui travaillent dur pour des salaires de misère, volontairement maintenus ainsi, la consonance de cet ineptie manipulatrice trouve un écho plus que favorable, car une fois de plus, elle oppose ceux qui travaillent en restant pauvres, à tous ceux qui ne travaillent pas et auxquels Sarko « le stigmatiseur » fait porter le chapeau chaque jour un peu plus, en les exhortant à travailler alors même que l’objectif libéral inavoué reste de maintenir un volant de chômage suffisant pour maintenir une tension salariale confinant les salaires au plus bas en évitant toute poussée inflationniste.<br /> <br /> C’est gros, c’est flatteur à entendre, c’est amicalement mis en avant par les médias, c’est marketé par des spécialistes et porté par un manipulateur en chef.<br /> <br /> Il est tant que le peuple se réveille
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